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Techniques respiratoires

Autrefois appelées pneumologie: elles sont souvent empruntées au yoga ou encore aux arts martiaux …

On retrouve les méthodes de Plent, le Bol d’air Jacquier, les techniques de ionisations, la cohérence cardiaque… qui vont permettre une meilleure oxygénation de nos tissus, organes et cellules, indispensable aux réactions métaboliques de notre organisme.

Si la respiration nous semble en pilotage automatique, nous pouvons en réalité intervenir consciemment dessus pour obtenir de nombreux effets bienfaiteurs...

 

Nous avons tous besoin d’oxygène pour vivre. Et pourtant beaucoup de gens respirent mal et n’utilisent que 30 % de leur capacité respiratoire. Souvent, sous l’effet du stress, nous restreignons notre respiration dans le ventre et finissons par respirer superficiellement.
Nous ne le remarquons pas mais cela donne lieu à des petits inconvénients comme les maux de tête, un sommeil de mauvaise qualité, des problèmes de digestion, des douleurs musculaires et articulaires, de la fatigue, des problèmes de concentration, etc...

 

Lorsque nous respirons, il se passe beaucoup plus dans notre corps qu’un simple apport d’oxygène.
A l’inspiration, il y a apport d’oxygène  dans le sang et cet oxygène, par la circulation sanguine arrive jusqu’aux cellules.
A l’expiration, il y a désintoxication car on élimine jusqu’à 70% de nos toxines ce qui contribue à l’assainissement des cellules.
Le fait de respirer de manière superficielle ne va pas permettre ce renouvellement de l’oxygène dans le sang tout en y laissant un résidu de toxines. Les cellules peuvent supporter cet encrassement pendant un certain temps, mais finissent par s’abîmer, c’est la maladie qui s’installe.

 

Dans notre corps, nous avons aussi un puissant muscle respiratoire : le diaphragme. C’est d’ailleurs le seul muscle que nous ayons besoin d’utiliser pour bien respirer.
Ce grand muscle en forme de coupole se situe juste en-dessous des côtes auxquelles il se rattache. Il sépare le thorax de l’abdomen.
A l’inspiration le diaphragme s’aplatit et repousse ainsi les viscères : le ventre se gonfle.
A l’expiration le muscle se détend et reprend sa place et sa forme initiale : le ventre s’affaisse de lui-même (sans autre effort, ni volonté).

Ce mouvement du diaphragme masse les organes digestifs et stimule ainsi leur bon fonctionnement. Nos intestins fonctionnent bien, ainsi que nos organes reproducteurs, nos reins, notre foie, notre estomac, la vésicule, le coeur.
Lorsque nous n’utilisons plus notre diaphragme et respirons uniquement en haut, en utilisant les muscles du thorax, ce massage n’a pas lieu et nous commençons après quelque temps à avoir toute une série de petits maux comme de la constipation, des règles douloureuses, le développement de fibrome utérin, des problèmes de prostate et même des ennuis cardiaques.

 

Le système lymphatique qui draine et purifie notre corps est aussi stimulé par une bonne respiration.


Mais respirer apporte encore d’autres bienfaits.
Selon la sagesse ancestrale chinoise, nous captons l’énergie cosmique (le Chi) par notre respiration. Cette énergie Vitale nourrit notre système énergétique et est indispensable au fonctionnement de notre organisme.
Respirer est aussi une forme de communication entre notre champs énergétique et le cosmos. L’énergie vitale a un niveau de fréquence vibratoire élevé et va entraîner nos cellules à ce niveau de fréquence.

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